Explorer la retraite à l’étranger en 2025 ouvre de nouvelles perspectives passionnantes pour ceux qui souhaitent profiter pleinement de cette étape de vie. Avec des destinations exotiques et des cultures variées, s’installer hors des frontières nationales devient une option séduisante. Cependant, comprendre les subtilités des prélèvements fiscaux est essentiel pour éviter les mauvaises surprises.
Cet article dévoile les secrets bien gardés des prélèvements en vigueur cette année, offrant un aperçu précieux pour planifier sereinement sa retraite à l’international. Préparez-vous à découvrir comment optimiser votre situation financière tout en savourant une nouvelle aventure sous d’autres latitudes.
Exonération de la CSG pour les retraités à l’étranger
Les retraités résidant fiscalement hors de France bénéficient d’une exonération de la contribution sociale généralisée (CSG) sur leurs pensions. Cette mesure s’explique par le fait qu’ils ne sont pas soumis au régime fiscal français, ce qui leur permet d’éviter cette charge sociale.
Toutefois, ils peuvent être redevables d’une cotisation d’assurance-maladie (Cotam), notamment si leur durée d’assurance en France atteint quinze ans ou s’ils résident dans certains pays sans percevoir de pension locale. Cette exonération influence souvent le choix des retraités quant à leur lieu de résidence, car elle peut représenter une économie significative sur leurs revenus de retraite.
Les prélèvements sociaux sur les pensions en France
En France, les pensions de retraite peuvent être soumises à plusieurs prélèvements sociaux. La contribution sociale généralisée (CSG) est appliquée selon le revenu fiscal de référence (RFR) et la composition du foyer, avec des taux de 3,8 %, 6,6 % ou 8,3 %.
La contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) s’élève à 0,5 %, tandis que la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA), fixée à 0,3 %, concerne uniquement ceux payant la CSG aux taux médian ou normal.
Enfin, la cotisation d’assurance-maladie (Cotam) de 1 % s’applique à certaines complémentaires comme Agirc-Arrco, sous conditions spécifiques. Les exonérations dépendent du RFR et varient pour les retraités vivant hors de France.
Conditions d’application de la Cotam pour les retraités à l’étranger
Les retraités vivant hors de France peuvent être soumis à la cotisation d’assurance-maladie (Cotam) si certaines conditions sont remplies. Cette cotisation s’applique notamment aux pensions de base à un taux de 3,2 % et à certaines complémentaires, comme Agirc-Arrco, à 4,2 %.
Les retraités doivent être affiliés obligatoirement à un régime français d’assurance-maladie avec une durée d’assurance en France d’au moins quinze ans ou résider dans des pays spécifiques sans percevoir de pension locale. Toutefois, le régime d’Alsace-Moselle présente des modalités distinctes pour cette cotisation. Ces règles influencent considérablement les décisions des retraités quant à leur installation à l’étranger.
- J’ai posé ces 15 questions en entretien : j’ai décroché le poste dès le lendemain - 17/05/2025 à 7h30
- On ne pourra plus retirer de liquide sauf dans 3 banques et je me suis demandé si je suis concerné - 16/05/2025 à 9h30
- J’ai appris que les retraits du livret A allaient être limités à 500€ et j’ai vérifié ce que ça change vraiment pour moi - 16/05/2025 à 7h30